12 agriculteurs français exposés dans le métro avant d’investir le Salon International de l’Agriculture

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130 affiches dédiées à 12 portraits d’agriculteurs, réparties dans 45 stations du métro parisien. Une frise rétroéclairée de 110 m², exposée au Salon de l’agriculture, racontant 24h de leur vie. C’est le résultat d’un an de reportages-photo réalisés par Géraldine Aresteanu à la demande d’InVivo. Agriculteur le jour et la nuit fait état du quotidien des agriculteurs et rend hommage à leur passion du travail, qui ne s’arrête pas à la nuit tombée. 

 

Un lien indissociable entre l’agriculteur et le citoyen-consommateur

La photographe Géraldine Aresteanu a parcouru la France pendant un an, à la rencontre de ces agriculteurs. Cette immersion dans leur quotidien a donné lieu à une série de reportages, affichée aujourd’hui et jusqu’au 25 février dans le métro parisien avec un message : « Vous nourrir, c’est mon métier » et une invitation à se rendre au Salon de l’agriculture pour découvrir l’intégralité des portraits.

Les 12 portraits seront exposés au SIA, sur une frise rétroéclairée de 110m² dans le passage Renan, qui relie les Pavillons 1 et 2, le plus fréquenté du salon. Les visiteurs y découvriront 24h de la vie de PaulHenri et Pauline Leluc, producteurs de pommes de terre et de vodka, Alice Avisse, polycultrice et éleveuse, Yves-Marie Leguen, ostréiculteur ou encore Eric Veyret, maraîcher. « Dans un secteur en mutation, la France est à l’avant-garde en matière de durabilité des pratiques agricoles. L’agriculteur est aujourd’hui un équilibriste, multi-casquettes. Agriculteur le jour et la nuit met l’humain au cœur du sujet et rappelle leur contribution dans la construction du modèle agricole futur. », indique Thierry Blandinières, directeur général d’InVivo.

 

Les « 24h » de Géraldine Aresteanu

En 2014, Géraldine Aresteanu entame le projet « 24h », durant lequel elle photographie le quotidien d’une personne. Portée par sa curiosité pour les autres et son engagement humain, elle alterne photographie-documentaire, portraits, projets personnels et commandes d’entreprises et institutions. Pour Géraldine, « Ce format est apparu comme idéal pour entrer dans le quotidien, vivre des moments d’intensité différente et attirer le regard sur une profession méconnue. »

Les portraits « visuels » des agriculteurs sont toujours accompagnés par un portrait « écrit » revenant sur leur parcours et leurs motivations à faire ce métier. La plupart ont souhaité participer à ces reportages pour susciter l’intérêt des consommateurs, qui connaissent parfois mal la diversité des agricultures françaises. Ainsi, Alice Avisse, polycultrice et éleveuse dans l’Oise est partisane d’une agriculture raisonnée « qui doit nourrir la planète tout en respectant l’environnement ». Yann Corbeau a fondé son exploitation porcine biologique en Bretagne ; il est issu d’une famille d’éleveurs conventionnels pour laquelle il « éprouve le plus grand respect. » D’autres rappellent à cette occasion la passion qu’ils vouent à leur travail : « Même la nuit, je devrais être dans ma bergerie, mais malheureusement il faut dormir ! », soupire Bruno Guénin, éleveur en Alsace.

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Communiqué de presse

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